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Ce que je n'avais pas dit

Ce que je n'avais pas dit

250 pages, ouvrage broché.

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Au cours des derniers mois de la Seconde Guerre mondiale, ou à la Libération, malheur à qui ne se déclarait pas gaulliste avéré (même si sa conversion était récente), ou communiste encarté. Il exista pourtant des hommes qui n’étaient ni l’un ni l’autre et qui, ayant fait un autre choix, sont allés jusqu’au bout de leur engagement et de leur fidélité à « une certaine idée de la France ». Le Commandant Georges Carus était l’un d’eux.

C’est ce qu’il raconte dans ce témoignage écrit avant sa mort, comme une sorte de testament. Toute son existence, de droiture et de courage, est garante de sa part de vérité. Ce marin de métier avait une haute idée du service que l’on doit à son pays et de l’amour de la Patrie. Elle l’a guidé dans sa lutte contre le bolchevisme sous la bannière de la Milice, en France et en Italie, sans que jamais il puisse être accusé des excès commis par certains à l’encontre de leurs compatriotes : les « salauds », au sens que Sartre donne à ce mot, n’étaient pas d’un seul bord, nous le savons bien aujourd’hui.

Il fut jugé pour son engagement du côté des vaincus de l’Histoire, mais acquitté au nom de la droiture qu’il manifesta en toutes circonstances, même les plus douloureuses. Le récit qu’il a laissé sonne comme un appel à la tolérance, en nos temps d’absolutisme sans nuances, et brosse le portait d’un homme qui, certes, pour les vainqueurs, avait pu se tromper dans certains de ses choix, mais pas dans celui d’une vertu qui se fait rare aujourd’hui : l’honnêteté.

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